Presse


NORMA – Opéra de Toulon –

Oct. 2013, Opéra de Toulon Provence Méditerranée

(GB OPERA / Jocelyne De Nicola / 28 Oct. 2013)

Il soprano Hiromi Omura, ha saputo uscire con onore dal difficile personaggio di Norma che, sappiamo bene, ha alle spalle una storia interpretativa quanto mai importante e possiamo anche definire “pesante”. La Omura ha mostrato grande musicalità e ha saputo fin dalla temibile “Casta Diva” gestire il ruolo con sicurezza in virtù anche di un buon colore vocale, registro acuto sicuro e una vocalizzazione precisa nelle agilità. La Omura ha saputo infondere il giusto pathos e drammaticità nei momenti clou dell’opera: i duetti con Adalgisa e i finali d’atto.


(PerformArts / Serge Alexandre / 4 Nov. 2013)

la soprano japonaise Hiromi Omura, convaincante Desdemone la saison passée, est une Norma d’une grande justesse, maîtrisant parfaitement le style belcantiste. Sa Norma est précise. Elle lui offre un sens du legato remarquable et une maîtrise du pianissimo devenue rare. Excellente technicienne, elle parvient à transmettre les émotions intérieures traversant le personnage et parvient à nous émouvoir. Elle est sans conteste la révélation de cette représentation!


(CLASSIQUENEWS.COM / Benito Pelegrin / 14 Nov. 2013)

on sent le drame qui avance et même l’extatique parenthèse de l’invocation à la lune, « Casta diva… »,‘chaste déesse’, ne cède à aucune mollesse ou langueur rythmique mais sans rien sacrifier de la délicatesse dentelée de la ligne vocale d’une Hiromi Omura qui à cet air galvaudé par la pub redonnait tout son charme magique et pur d’imploration à la paix universelle rêvée par les femmes, les mères, les amantes. Cette tendresse exprimée par cette voix de lait et de miel, ne rendra que plus cruel le désir ultime de vengeance de la femme contre l’orgueil dynastique, la filiation implacable de la loi du mâle : tuer ses enfants, à quoi elle ne peut se résoudre, malgré sa guerre contre l’amour trahi, la dureté contre la tendresse
À l’aise dans le hiératisme plus que dans la passion, la chanteuse japonaise (on pense au futur sacrifice de Butterfly contre l’ingratitude de l’homme) sert le chant redoutable d’une technique sans faille et de pianissimi frémissants.


NORMA : ÉBLOUISSANT!

(La Marseillaise / Claudie KIBLER ANDREOTTI)

Photo CKA : Le final de l’éblouissante Norma, Central: Hiromi Omura

Encore deux représentations pour ce merveilleux Norma de Bellini, où de très belles voix émaillent le plateau, de la Diva Hiromi Omura à la basse Taras Shtonda, de Stella Grigorian, Marie Karall, Guillaume François à Giuseppe Gipali. Bien que souffrant, le ténor a donné le meilleur de son Art… L’orchestre, magistralement dirigé par Giuliano Carella et le chœur de l’Opéra, participent à la création d'un sublime Norma.
Si avec l’Immortel Casta Diva, la terreur ne quitta jamais les planches -le rôle-titre a une réputation de « meurtrier des voix », si les sopranos s’y mesurent, s’y fracassent, Hiromi Omura s’en joue avec une apparente légèreté!
« Le maestro Carella m’a conseillé de chanter comme si je racontais une histoire et d’oublier les difficultés » nous confie-t-elle avec simplicité. - -Casta Diva est « une mélodie énorme, un travail mêlant artifices technique et artistique » insiste le maestro Giuliano Carella.
- L’opéra a besoin d’un message !» conclut Massimo Gasparon, metteur en scène.


OTELLO – Opéra de Toulon –

Mai 2012, Opéra de Toulon Provence Méditerranée

(La Marseillaise, 2012 / Claudie Kibler Andreotti)

Incarnée par la belle soprano japonaise Hiromi Omura pour la première fois à Toulon, tessiture impressionnante, large et colorée, Desdemona bouleverse.


(PerformArts / Serge Alexandre /29 Juin. 2012 )

la Desdemone d’Hiromi Omura, ancienne pensionnaire du Cnipal, est une belle découverte. Elle prête son immense format vocal au rôle. Le timbre est lumineux et il y a une telle émotion dans son chant, au service d’un réel engagement scénique. Elle est une Desdémone particulièrement émouvante, notamment au quatrième acte où elle nous livre d’admirables aigus filés.


Il TROVATORE – Opéra de Montréal –

Juin 2012, Opéra de Montréal

"Hiromi Omura vole la vedette"

(Le Journal de Montréal, 2012 / Vanessa Guimondi)

Bien qu’elle soit entournée d’artistes de grand talent, Hiromi Omura vole la vedette dans la plus récente production de l’Opéra de Montréal, Il Trovatore. (PDF in French)


NORMA – Opéra de Lausanne –

Oct. – Nov. 2011, Opéra de Lausanne

(Opéra Magazine No.68, 2011 / Richard Martet)

... « Casta diva » impeccablement conduit sur le souffle, avec un legato de haute école. Exemplaire de probité, la soprano japonaise fait toutes les notes, du grave à l’aigu. Dardant des contre-ut faciles, elle passe sans problème au- dessus des chœurs et de l’orchestre dans les ensembles.sa référence, de toute évidence, est Montserrat Caballé, avec un mimétisme surprenant dans certains phrasés, une science raffinée des piani (très émouvant « Son io ».


(Journal 24 heures, 2011 / Matthieu Chenal)

Dans le role-titre, Hiromi Omura irradie de sa présence tendre et poignante. La soprano japonaise donne à sa Norma une sublime abnégation grace à une extraordinaire délicatesse de chant. Sa voix lumineuse, au legato long et soyeux, confère une noblesse et une intimité idéales à son air d’entrée, Casta diva


OTELLO

Juin 2010, Opéra National de Lorraine

"Emouvante Desdemona"

(Journal L'Est Républicain, 2010 / Didier Hemardinquer)

Sublime dans le dernier acte, où elle est totalement émouvante dans la chanson du saule et dans sa prière ...


SIMON BOCCANEGRA

Mars 2010, Opéra de Montréal

(Resmusica, 2010 / Jacques Hétu)

Les voix sont partout excellentes, particulièrement celle d’Hiromi Omura irradiante dans le role d’Amelia et d’une présence sur scène à couper le souffle .


MADAMA BUTTERFLY

Févr. 2009, Opéra de Lausanne

(Opéra Magazine No.39, 2009 / Catherine Scholler)

Dès ses premières phrases, en coulisses, au milieu d’autres voix féminines, on est d’emblée frappé par son timbre riche et sa présence. La voix, bien placée, à la fois souple et puissante, égale sur toute sa longueur, passe la rampe avec facilité, sans jamais forcer. L’interprète sait jouer sur les couleurs et la dynamique, et l’actrice, fort belle, arrache les larmes.


MADAMA BUTTERFLY

Mai 2008, Opéra de Montréal

(Montréal Express, 2008 / Michel Joanny-Furtin)

La soprano Hiromi Omura porte les émotions du rôle-titre comme un gant. Adolescente ingénue au premier acte, mère patiente au deuxième, femme trahie au dernier acte. Son interprétation du rôle traverse avec profondeur Les trois temps de cette femme passionément amoureuse. Le chant puissant et émotif de Hiromi Omura touche le public jusqu’au poulailler.


"Bouleversante Butterfly"

(La Presse, 2008 / Claude Gingras)

Hiromi Omura projette une grande et belle voix que je dirais de couleur et de phrasé presque italiens. C’est à s’y méprendre, surtout que des chanteuses pourtant italiennes ont des voix moins chaudes. Une Grande chanteuse, une grande tragédienne aussi, Hiromi Omura. Et, précédemment, Une actrice toujours naturelle et convaincante.